Dernière chance de visiter cette exposition exceptionnelle qui se terminera le 12 janvier 2020!
Homme de clan, vaillant soldat et fier combattant, le guerrier des Highlands est une figure militaire emblématique dont le rôle et la réputation ont évolué au fil des siècles, en Écosse et par-delà ses frontières.
Plus de 200 artéfacts, tels que d’imposantes épées et des tartans resplendissants, font ressortir les liens entre les farouches guerriers gaéliques du Moyen Âge, les jacobites écossais restés loyaux au roi James et les fières traditions des régiments des Highlands d’aujourd’hui, au Canada.
Découvrez les origines et l’histoire d’une culture militaire, connue autant pour la bravoure, la férocité, la discipline et l’habileté de ses combattants que pour ses kilts colorés et les vibrants appels de ses cornemuses.
Une exposition réalisée par Nomad Exhibitions, en collaboration avec le Musée canadien de la guerre et Glasgow Museums.
Le saviez-vous?Le mot « clan », associé à un groupe de familles, vient du gaélique. Il signifie « enfants » ou « descendance ». Le système clanique des Highlands accorde une grande importance au service militaire ainsi qu’à l’habileté et au courage.
Photo : Musée canadien de la guerre, CWM2019-0040-0021-Dm
Épée à deux mains des Highlands, vers 1530Souvent appelées claymores, elles ont été utilisées du début du XVIe siècle à la fin du XVIIe siècle.
Le saviez-vous?À mesure que grandissait la réputation des régiments des Highlands, l’uniforme de leurs officiers gagnait en extravagance, avec l’ajout de bonnets de plumes, de sporrans, de dirks et de pistolets toujours plus complexes et couteux.
Photo : Musée canadien de la guerre, CWM2019-0040-0013-Dm
Forte-épée à garde en panierForte-épée à garde en panier ayant appartenu à James Thompson, soldat du 78th Fraser’s Highlanders qui a servi en Amérique du Nord durant la guerre de Sept Ans (1756-1763).
Le saviez-vous?La cornemuse et l’uniforme Highland – deux symboles colorés, frappants et distinctifs de l’Écosse – ont survécu jusqu’à ce jour, en grande partie grâce aux régiments militaires des Highlands qui ont continué de s’en servir.
Photo : Musée canadien de la guerre, CWM2019-0040-0014-Dm
CornemuseLa cornemuse dont a joué le cornemuseur-major Sam Scott, du Cameron Highlanders d’Ottawa, en Normandie le jour J, le 6 juin 1944.
Le saviez-vous?Durant la Première Guerre mondiale, les unités des Highlands ont reçu des couvre-kilts, semblables à des tabliers, pour camoufler les kilts au tartan foncé sur le terrain. Les kilts ne font plus partie de la tenue de combat depuis 1940 en raison de la vulnérabilité de la peau nue aux agents chimiques, mais ils restent un élément de l’uniforme régimentaire officiel.
Photo : Musée canadien de la guerre, CWM2019-0040-0032-Dm
UniformeUniforme de la cornemuse-major Lillian Grant, du Service féminin de l’Armée canadienne, 1942. Le corps de cornemuses du Service féminin de l’Armée canadienne que dirigeait Lillian Grant a été formé en 1942 pour favoriser le recrutement au Canada. Il a été envoyé outre-mer en 1945. Grant maîtrisait déjà la cornemuse et en jouait depuis l’âge de 12 ans.
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