Croix du Souvenir, Croix du Souvenir de Georges V
Signaler une erreur- Numéro de l'objet 19860244-001
- Événement 1914-1919 Première Guerre mondiale
- Affiliation --
- Artiste / Artisan / Fabricant --
- Date de production 1919
- Lieu d'utilisation Continent - Amérique du Nord, Pays - Canada
- Catégorie Objets de communication
- Sous-catégorie Symbole personnel
- Département Armes et technologie
- Musée MCG
- Date minimale 1919/12/01
- Date maximale 1919/12/31
- Inscription 177291 PTE. A. CORDY; STERLING
- Support libre
- Matériaux Argent sterling
- Grade soldat
- Constituant de l’Arme Corps expéditionnaire canadien
- Personne / Institution Sujet, Cordy, Soldat Arthur Frederick
- Mesures Longueur 3.8 cm, Largeur 3.1 cm, Épaisseur 0.2 cm
- Légende Arthur CORDY
- Information supplémentaire Né à Carleton, au Québec, en 1893, Cordy s'enrôla en 1915. Arrivé en Angleterre en mai 1916, il fut affecté au 1er Bataillon, en France, au mois de juin. Il fut blessé en septembre 1916, puis, le 22 février 1917, il subit de nouvelles blessures par balles, à la poitrine et à l'épaule droite, qui lui furent fatales.
- Légende projet de médailles- Cordy, Arthur Frederick
-
Information supplémentaire
Arthur Frederick Cordy est né à Capleton, au Québec, le 5 août 1893. Il est le fils de John G. et d’Eliza Ann Cordy.
Teneur de grand livre, Cordy s’enrôle dans le 87e bataillon d'infanterie canadien (Canadian Grenadier Guards) le 21 octobre 1915 à Québec. Il possède déjà une certaine expérience militaire, car il a servi dans le 8th Regiment « Royal Rifles », un régiment de milice basé à Québec.
Après avoir suivi un entraînement initial au Canada, Cordy part pour l’Angleterre avec son unité le 23 avril 1916 et arrive à destination le 4 mai 1916. Un mois plus tard, il est transféré au 1er bataillon d'infanterie canadien (Western Ontario) et rejoint son unité en France le 19 juin 1916.
Le 19 septembre 1916, Cordy est blessé à l’épaule droite durant la bataille de Flers-Courcelette. Le lendemain, il est transféré à l’Hôpital général no 16 au Tréport, en France, où il recevra des soins. Un mois plus tard, on l’envoie au Dépôt de convalescence no 3, également située au Tréport, pour y poursuivre sa convalescence. Le 24 octobre 1916, étant considéré comme guéri, il est envoyé aux Base Details avant de rejoindre son unité.
Le 27 février 1917, Cordy est admis au poste d’évacuation sanitaire no 22, gravement blessé par balle à la poitrine. Il meurt plus tard ce jour-là. Les documents disponibles précisent que Cordy n’a pas été tué par l’ennemi. Il a plutôt été victime d’un accident, mais aucune information sur l’accident n’est donnée.
Arthur Frederick Cordy est enterré dans l’extension du cimetière communal de Bruay, en France.