affiche de collecte de fonds, IF YOU CANNOT JOIN HIM YOU SHOULD HELP HER
Signaler une erreur- Numéro de l'objet 19890086-530
- Événement 1914-1919 Première Guerre mondiale
- Affiliation --
- Artiste / Artisan / Fabricant Howell Lith
- Date de production --
- Lieu d'utilisation Continent - Amérique du Nord, Pays - Canada
- Catégorie Objets de communication
- Sous-catégorie Support publicitaire
- Département Art et monuments
- Musée MCG
- Inscription IF YOU CANNOT JOIN HIM YOU SHOULD HELP HER CANADIAN PATRIOTIC FUND OFFICE
- Médium encre
- Support papier sur toile
- Matériaux Sans objet
- Personne / Institution Institution associée, Fonds patriotique canadien
- Mesures Hauteur 103.2 cm, Largeur 66.2 cm
- Légende If you Cannot Join Him You Should Help Her/Back Them Up
- Information supplémentaire Pendant la Première mondial, le Fonds patriotique canadien recueillait des dons pour aider les familles des militaires au Canada; les programmes d'aide du gouvernement en étaient alors à leurs débuts.
- Légende If You Cannot Join Him, You Should Help Her (Si vous ne pouvez vous joindre à lui, vous devriez aider son épouse), 1915-1918 Canada, Première Guerre mondiale
- Information supplémentaire La partie inférieure gauche de l'affiche montre un bureau du Fonds patriotique canadien, organisation privée qui collectait des fonds en faveur des familles des soldats. Ici, le message selon lequel il incombait à la société de soutenir les familles des militaires servant outre-mer est visuellement discret, même victorien, mais il est aussi subtilement progressiste : les responsabilités financières accrues du gouvernement envers les anciens combattants et leurs familles, un trait majeur commun aux deux guerres mondiales, constituaient l'une des pierres angulaires du nouveau système d'aide sociale au pays.
- Légende If You Can't Join Him, You Should Help Her (Si vous ne pouvez vous joindre à lui, vous devriez aider son épouse)
- Information supplémentaire Cette affiche met en contraste un soldat dans les tranchées et une femme et ses enfants dans un bureau du Fonds patriotique canadien (FPC). Le FPC, une association nationale et bénévole, recueillit 47 millions de dollars pour les personnes à charge des soldats grâce à un vaste réseau à travers le Canada. Malgré les bonnes œuvres du FPC, beaucoup de bénéficiaires se plaignaient que le contrôle exercé par ses agents était une immixtion dans leur vie personnelle. Les visites des bénévoles, qui s'assuraient que l'argent n'était pas dépensé en frivolités ou qu'il ne favorisait pas des comportements licencieux, était une illustration claire des valeurs répandues dans la société.