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MCG 20100182-005
Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre
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Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre
MCG 20100182-004 Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre

Major

Buck, Charles Henry

Unité

20e bataillon d'infanterie canadien (Central Ontario)

Branche

Infanterie

Service

Corps expéditionnaire canadien

Numéro de service

916623

naissance

1895/08/31

Toronto, Ontario, Canada

mort

1973/09/17

Manotick, Ontario, Canada

la tombe

Cimetière Georgetown, Halton, Ontario

le sexe

Homme

Charles Henry Buck est né dans la région de Toronto le 31 août 1895. Il était le fils de John Frederick et Marion Buck (née Bell). Son père, un ouvrier, était né à Hambourg, en Allemagne, et avait émigré au Canada alors qu’il était enfant. Selon les registres familiaux, Buck avait deux frères et quatre sœurs. En 1911, il déménagea et fut pensionnaire à Cobourg, en Ontario, où il travaillait comme ouvrier tout en préparant à devenir dessinateur/architecte. Cependant, au moment où il s’est enrôlé dans le Corps expéditionnaire canadien (CEC), il vivait avec ses parents sur l’avenue Canlaw à Toronto et travaillait comme architecte.

Il semble s’être enrôlé plusieurs fois, bien que son dossier n’indique que sa date de service à son dernier enrôlement. Selon une fiche médicale, il s’était enrôlé en octobre 1915 au sein du Queens Own Rifles et s’était rendu au Royaume-Uni où il a souffert d’une faiblesse causée par une hernie lors d’une opération à l’appendice dans son enfance. Il a été renvoyé à la vie civile, car il était médicalement inapte au service, et est revenu au Canada. Un autre dossier d’un conseil médical de Kingston, en Ontario, indiquait qu’il s’était enrôlé à nouveau le 10 avril 1916 au sein du Royal Canadian Horse Artillery et qu’on recommandait son renvoi immédiat pour les mêmes motifs. Cependant, Buck s’enrôla de nouveau à Toronto le 27 avril 1916 dans le 198e bataillon d'infanterie canadien (Canadian Buffs) qui recrutait au sein du Queens Own Rifles à l’hiver 1915-16. Buck a navigué avec l’unité qui a quitté Halifax le 25 mars 1917 pour arriver à Liverpool dix jours plus tard. À son arrivée, son service antérieur semblait lui être très utile, car il a été immédiatement nommé sergent suppléant. Trois mois plus tard, il est devenu sergent-major de compagnie avec son unité, qui se trouvait maintenant au camp de Whitley, et a été promu adjudant (2e classe). Il a été envoyé en formation militaire en janvier 1918. Cependant, en mars, il est redevenu sergent par intérim pour un déploiement outre-mer et a rejoint son unité de campagne, le 20e bataillon d'infanterie canadien (Central Ontario), au dépôt de renforcement du Corps canadiens en France. Deux mois plus tard, il a été hospitalisé, d’abord à la Canadian Field Ambulance no 6, et le 11 mai 1918, au premier Hôpital général australien. Trois jours plus tard, il était de retour au Royaume-Uni à l’Hôpital spécial du Canada à Lenham, où l’on avait diagnostiqué des lésions tuberculeuses aux poumons lui causant une faiblesse et un pouls élevé. Le 20 septembre 1918, il a été rapatrié au Canada à bord du navire-hôpital HM Hospital Ship Neuralia et envoyé à l’hôpital militaire canadien de Sarnia. Son état ne semblait pas grave, mais un conseil médical l’a jugé inapte au service et il a été renvoyé à la vie civile le 21 novembre 1918.

À sa sortie, il est allé vivre chez ses parents à Toronto et s’est rapidement marié avec une enseignante, Jessie Irene Anderson, le 24 novembre 1919. Selon le recensement canadien de 1921, il habitait avec elle sur la rue Hunter à Toronto et travaillait comme architecte. Il existe peu de documents publics sur sa vie post-militaire, mais selon les notes de sa famille, il maintenait des relations avec son unité en tant que vice-président de la Canadian Buffs Association en 1924-25. Il a trouvé un emploi au sein du gouvernement fédéral au ministère des Affaires indiennes et s’est installé dans la région d’Ottawa en 1939. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a rejoint le Corps de service royal de l’Armée canadienne et obtenu le grade de major. Son épouse est décédée en 1954 et il s’est remarié avec Ivy MacKoy. Il a pris sa retraite dans la région de Manotick, près d’Ottawa, en Ontario, où il est décédé le 17 septembre 1973. Sa famille indique qu’il est enterré au cimetière Georgetown, près de Halton, en Ontario.

La Collection du Musée canadien de la guerre comprend les artéfacts suivants pour ce récipiendaire