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L’expérience de la guerre

La Grande-Bretagne mena une guerre défensive efficace contre les États-Unis alors que les villes de Halifax et de Québec, villes clés de la défense du Canada, ne furent jamais sérieusement menacées par des attaques américaines.

Québec

Les États-Unis ne pouvaient espérer vaincre la Grande-Bretagne en Amérique du Nord sans s’emparer de Québec.

Vue depuis les baraques des officiers, la citadelle, Québec, le Cap Tourmente, l’île d’Orléans, 1840

De formidables défenses

Vue depuis les baraques des officiers, la citadelle, Québec, le Cap Tourmente, l’île d’Orléans, 1840

Aquarelle de Millicent Mary Chaplin, 1840
Bibliothèque et Archives Canada, 1956-62-13
Tunique d’un officier de la milice de Québec

Tunique d’un officier de la milice de Québec

Tunique d’un officier de la milice de Québec

MCG 19790001-006

Halifax

Halifax, en Nouvelle-Écosse, constituait une base d’opérations essentielle pour la Royal Navy dans les eaux nord-américaines.

Mortier de Halifax

Mortier de Halifax

Mortier de Halifax

MCG 19430003-001
Fusil à silex, modèle India

Fusil, modèle India

Fusil à silex, modèle India

MCG 19770467-011

La guerre atteint l’Amérique.

Pendant que l’armée britannique défendait le Canada, la Royal Navy tentait de forcer les États-Unis à mettre fin à la guerre en imposant un blocus des côtes américaines et en menant des raids amphibies.

Le HMS Shannon remorque sa prise, la frégate américaine Chesapeake dans le port de Halifax

Blocus de la côte

Le HMS Shannon remorque sa prise, la frégate américaine Chesapeake dans le port de Halifax

Lithographie de John Christian Schetky, vers 1830
Bibliothèque et Archives Canada, 1970-188-1937
L’amiral Cockburn mettant Havre-de-Grâce à feu et à sac, le 1er juin 1813

Des raids amphibies

L’amiral Cockburn mettant Havre-de-Grâce à feu et à sac, le 1er juin 1813

Artiste inconnu
Anne S. K. Brown Military Collection, Brown University Library, Providence, Rhode Island

La paix britannico-américaine

Pour la Grande-Bretagne, la signature du traité de Gand assurait une fin heureuse à la guerre.

Cent ans de paix. La signature du traité de Gand passé entre la Grande-Bretagne et les États-Unis d’Amérique, le 24 décembre 1814.

Le traité de Gand

Cent ans de paix. La signature du traité de Gand passé entre la Grande-Bretagne et les États-Unis d’Amérique, le 24 décembre 1814.

Gravure d’Amédée Forestier, 1914
Bibliothèque et Archives Canada, 1993-275-1