Un fonds de dotation contribue au financement de la Salle de l’histoire canadienne

Le 8 avril 2016
Kanta Marwah en compagnie de Mark O’Neill

La professeure Kanta Marwah en compagnie de Mark O’Neill.

Nom : Kanta Marwah
Domicile : Ottawa (Ontario)
Profession : professeure émérite (économie), Université Carleton
Don : fonds de dotation
Membre depuis : 1999

L’économiste Kanta Marwah, Ph. D., apporte son soutien dans de nombreux domaines, en faisant des dons aux hôpitaux, aux universités et, surtout, aux entreprises artistiques. « Toute ma vie, j’ai été une chercheure et une passionnée de sujets intellectuels. Tous les membres de ma famille sont des scientifiques ou des ingénieurs, explique Mme Marwah. Les arts insufflent la beauté dans notre vie. »

Dès son arrivée à Ottawa, il y a 40 ans, cette professeure d’économie et de recherche de grand renom s’est efforcée de nouer des liens avec les musées. « Je viens au Musée canadien de l’histoire pratiquement chaque semaine. Il y a toujours quelque chose à voir. » Professeure à l’Université Carleton, elle aime tout particulièrement la très inspirante Grande Galerie. Elle fait aussi visiter le Musée à ses invités venant d’ailleurs, tout en estimant que l’institution revêt une grande importance pour l’ensemble de la collectivité.

Son grand intérêt et sa passion pour l’histoire l’ont amenée à devenir d’abord membre du Musée, puis donatrice active. En septembre 2015, elle a fait un cadeau important au Musée en créant le fonds de dotation Kanta-Marwah pour soutenir la Salle de l’histoire canadienne. Les fonds générés par son don permettront aux étudiants et aux autres visiteurs de mieux connaître les personnes, les lieux et les événements qui ont façonné le Canada.

« Toutes les expositions du Musée sont très importantes. Elles aident les Canadiens à se situer dans un contexte mondial, explique Mme Marwah. Chaque exposition est riche d’enseignements. » L’économiste est très enthousiasmée par les possibilités qu’offrira la future Salle de l’histoire canadienne.

Selon Mme Marwah, en tant que membre d’une collectivité, il est normal de donner en retour. « Il suffit de fermer les yeux et de rédiger le chèque », dit-elle pour encourager les futurs donateurs. « On ne peut pas se tromper. Il n’est toutefois pas interdit de commencer par un petit montant, ajoute-t-elle en riant. Ça fait du bien de donner. »

Mots-clefs : Kudos printemps 2016